Monolith Soft livre une fois de plus un brillant jeu de rôle en monde ouvert. Ce développeur a l’habitude de pousser à fond les consoles à ressources limitées, depuis la Wii originale – alors qu’est-ce que Monolith a à offrir pour ce qui est probablement son dernier jeu pour la génération actuelle de la Switch ? Et si l’on garde à l’esprit que le studio a également contribué à The Legend of Zelda : Breath of the Wild, certaines des technologies présentées ici sont-elles potentiellement applicables à la suite de BOTW ?
Xenoblade Chronicles 2 est un beau jeu, mais il souffre de sa résolution (360p parfois, avec un « sharpening filter »). Xenoblade Chronicles 3 est un gros boost en avant, grâce notamment à un temporal up-sampling. Le jeu est cette fois-ci principalement en 540p, mais avec cette nouvelle technique, le jeu reste joli.
Xenoblade Chronicles 3 est un des gros jeux les plus nets que Digital Foundry a vu en mode portable sur la Nintendo Switch, et loin de ce que l’on avait vu sur Xenoblade Chronicles 2 (4:50). Et c’est très encourageant pour la suite de Breath of the Wild !
Les proportions des personnages sont meilleures, et permettent d’avoir des animations plus naturels de ceux-ci, et du motion blur a été ajouté pour la fluidité de l’ensemble. Il reste pas mal de popping dans les éléments du décor, mais c’est déjà mieux que ce que l’on avait sur Xenoblade Chronicles Definitive Edition et Xenoblade Chronicles 2.
Niveau framerate, le jeu reste relativement stable, à 30 fps quasi tout le temps. Il arrive que certains combats descendent à 25 fps selon le nombre de personnages à l’écran.